A propos de Sliders
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A propos de Sliders
Il y a des histoires à poursuivres et thème qui ne bouge pas ici sur ce site.
Faudrait continuer de temps en temps.
Faudrait continuer de temps en temps.
martin- Nombre de messages : 244
Re: A propos de Sliders
C'est la rentrée, Plumes se réveille doucement mais ne t'inquiètes pas : ça va venir. En particulier, je causerai avec Milou dès que j'aurai un soir de libre.
Spangle- Nombre de messages : 181
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Re: A propos de Sliders
Qui aimerais continuer l’histoire de Milou et ses amis avec moi, Martin.
martin- Nombre de messages : 244
Re: A propos de Sliders
Au lieu de lire ce que j'ai écrit.
Écrivez dont quelque chose.
Écrivez dont quelque chose.
martin- Nombre de messages : 244
Re: A propos de Sliders
Comme je l'ai dit:
Écrivez donc quelque chose a place de lire.
Je ne peux pas écrire toute l'histoire moi-même.
Écrivez donc quelque chose a place de lire.
Je ne peux pas écrire toute l'histoire moi-même.
martin- Nombre de messages : 244
Re: A propos de Sliders
Désolé' Martin, mais je ne vois pas comment participer à ce texte. Par contre je sais enfin pourquoi : dans ce genre d'aventure, il est presque indispensable de commencer par décider ensemble de la façon dont on veut s'y prendre. Pour moi, ce texte est ton texte.
Spangle- Nombre de messages : 181
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Re: A propos de Sliders
Non c’est pour tous le monde Adrien.
Toi autant que les autres.
Toi autant que les autres.
martin- Nombre de messages : 244
Re: A propos de Sliders
J'ai bien compris que tu souhaitais que ce texte soit écrit collectivement, mais je ne peux pas m'intégrer à ce projet, pour la raison que j'essaie de t'expliquer plus haut : tu as commencé à écrire, sans concertation, sans explication, et le résultat est que tu as écrit un texte qui est le tien, et qui ne peut pas être (ou devenir) le nôtre.
Spangle- Nombre de messages : 181
Commentaires : toujours bienvenus
Re: A propos de Sliders
Mais ce que tu as écris, ça ne compte pas ça.
Parce contre je pourrais écrire un bout de texte et comme ça tu pourrais exerçable toi et les autres de le continuer.
Parce contre je pourrais écrire un bout de texte et comme ça tu pourrais exerçable toi et les autres de le continuer.
martin- Nombre de messages : 244
Re: A propos de Sliders
Je ne suis pas sûr' de comprendre ; tes phrases sont un peu déroutantes.
Il faudrait de toutes façons commencer, non par écrire, mais par décider de ce qu'on veut écrire et de comment on veut l'écrire. Même pour un cadavre exquis, alors que chacun' écrit ce qu'ille veut, on commence par décider qu'on écrit un cadavre exquis.
Il faudrait de toutes façons commencer, non par écrire, mais par décider de ce qu'on veut écrire et de comment on veut l'écrire. Même pour un cadavre exquis, alors que chacun' écrit ce qu'ille veut, on commence par décider qu'on écrit un cadavre exquis.
Spangle- Nombre de messages : 181
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Re: A propos de Sliders
Voici le résumer de cette histoire.
Martin a rencontrer des fantômes dans la piste cyclable.
Et pendant qu’il était retourner chez lui un fantôme lui as dit qu’il y avait une femme qui était en train de se noyer dans la rivière.
Après l’avoir sauver de sa noyade la neige commença à tomber et notre détective se demanda ceci.
Dis-moi la belle que je viens de sauver de la noyade, comment s’appelle ce monde où la température change tous le temps et qu’il y a des fantômes dans la piste cyclable parce ce que ce n’est pas mon monde ici, Maryse.
Martin a rencontrer des fantômes dans la piste cyclable.
Et pendant qu’il était retourner chez lui un fantôme lui as dit qu’il y avait une femme qui était en train de se noyer dans la rivière.
Après l’avoir sauver de sa noyade la neige commença à tomber et notre détective se demanda ceci.
Dis-moi la belle que je viens de sauver de la noyade, comment s’appelle ce monde où la température change tous le temps et qu’il y a des fantômes dans la piste cyclable parce ce que ce n’est pas mon monde ici, Maryse.
martin- Nombre de messages : 244
Re: A propos de Sliders
Oui, mais ça c'est ce que je peux constater maintenant. Je n'ai pas participé à ce début, je n'ai aucune idée de l'intention qui l'anime. Pour me comprendre, tu peux essayer d'écrire la suite de ce texte :
La première chose qui vous vient à l'esprit quand vous voyez Caribaï, c'est qu'elle est très,mais alors vraiment très mignonne. Toutefois, ceci ne sera pas l'histoire des jeunes gens qui sont tombés sous son charme et ont désespéré en découvrant leur heureux rival.
Intéressons-nous pour le moment à la voisine de Caribaï ; Diane est une femme d'âge mûr que la vie n'a pas épargnée, mais qui a su garder intact, sinon son âme d'enfant,du moins son amour pour le jazz, et certains conviendront que cela revient plus ou moins au même.
Ses nouveaux voisins lui plaisent déjà: les yeux brillants, un sourire aux lèvres, ils gravissent les étages en échangeant des baisers -jamais assez- avec une énergie qui lui rappelle, sa fille d'abord, sa fille quand elle avait leur âge, ce qui remonte à environ quinze ans ; et puis, plus lointains,mais plus doux encore, ses propres souvenirs de jeunesse.
Cette certitude, par exemple,qu'au-delà d'un demi-palier il n'est pas indécent de reprendre la tendre bataille de chatouilles interrompue par son gentil bonjour,fait surgir en elle un prénom, une adresse. Luc et elle, rue du Grand Charmont, c'était tout à fait ça. Elle ne cherche pas à retrouver l'année, peu importe.
Ignorant les craquements des cartilages de ses genoux, Diane entreprend de sautiller de marche en marche jusqu'au rez-de-chaussée, et dans un soupir, pense qu'il ne lui restait plus beaucoup à descendre, heureusement pour ses genoux,et que tout de même pour son âge elle ne s'en sort pas si mal. Elle décide de continuer à égayer l'univers de sa propre bonne humeur en sifflant le long du chemin. Le morceau qu'elle travaille ce matin s'y prête avec entrain, et l'agitation de la rue semble même,trouve-t-elle, en suivre le rythme.
Ici, l'auteur cesse la filature,regardant Diane s'éloigner puis tourner au coin de la rue. Si vous croyez qu'on fait ce qu'on veut... tant mieux pour vous.Grommelle-t-il, contrarié et extrêmement troublé. Ainsi,songe-t-il, je ne parviens pas à m'éloigner de cet immeuble ;peut-être que Caribaï joue dans cette histoire un rôle plus important que je ne me l'étais imaginé. Eh bien, je suppose qu'il ne me reste plus qu'à y aller voir. Il tourne les talons et repasse la porte marron dans une telle hâte qu'il manque s'étaler en ratant la dernière marche du perron. Jurant, il commence l'ascension des degrés de mosaïque qui tournicotent autour de la cage en fer forgé d'un vieil ascenseur.
Au palier du premier, un coup de feu l'arrête, venant de l'appartement du docteur et suivi presqu'aussitôt d'un cri et de deux autres coups de feu. Il s'exclame alors tout haut : Oh ! Mais oui, c'est évident ; nous sommes dans un polar. Où avais-je la tête ?
Conscient de son statut d'observateur invisible, l'auteur recule jusqu'au mur, attendant que la lourde porte à poignée de cuivre soit ouverte par un protagoniste ; il n'a jamais fait usage de son immatérialité pour s'introduire quelque part. Qui sait ce qu'on ressent à traverser ainsi les portes ou même les murs ? Il ne tient pas à l'apprendre, et puis ce serait tellement indiscret. Certes, se glisser dans une pièce à la suite des gens et assister à toutes sortes d'événements privés, ça n'est pas joli-joli ; mais ce sont les limites qu'il s'est fixé dans son butinage.
Des pas précipités descendent l'escalier, ralentissent pour lancer un « Ohé ! Tout va bien? » qui chevrote malgré lui, et achèvent de gagner le palier sans attendre de réponse. Amandine Souchet a la trentaine sportive.Surprise par les coups de feu au milieu d'une consultation pédiatrique, elle a attendu que le papa du petit Alfred (non mais je vous jure : Alfred !) sorte des toilettes, lui a collé le marmot étonné dans les bras et a balbutié en s'élançant dans l'escalier qu'elle revenait tout de suite, et qu'il appelle la police depuis le téléphone qui est dans son bureau.
Arrivée en bondissant devant la porte, elle y cogne trois coups énergiques et entre, appelant : Yves! Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Tout va bien ? Elle traverse le corridor à grandes enjambées, laissant la voie libre à l'auteur qui lui emboîte le pas, l'air plus curieux qu'affolé. Ce n'est qu'une histoire, vous comprenez ? Il a l'habitude.
À ses côtés, nous suivons Amandine jusqu'à la cuisine, où elle découvre le docteur debout, bien vivant et entièrement moucheté de jaune d'œuf. L'épicentre des éclaboussures qui tapissent la pièce est une casserole encore fumante sur la gazinière, témoignant que la légendaire distraction du docteur Fourchu a encore frappé. Ce dernier se tourne vers sa consœur abasourdie et lâche piteusement : J'ai oublié les œufs sur le feu!
Le soulagement d'Amandine laisse place à l'indignation. Cette fois ça dépasse les bornes ! Un accident culinaire par mois, ça commence à bien faire. Le jour où il y aura le feu dans l'immeuble pour de bon, elle descendra voir ce qui brûle dans son four au lieu d'appeler les pompiers ! Se rappelant d'Alfred,elle repart presque aussi vite qu'elle était venue, vociférant qu'elle trouvera bien le moyen de mettre un terme à toutes ces bêtises.
Yves Fourchu reste planté au milieu de sa cuisine dévastée, cligne deux ou trois fois des yeux en direction du corridor comme pour chasser de son regard une image rémanente, puis s'empare d'un rouleau d'essuie-tout et s'attelle au nettoyage des dégâts.
La première chose qui vous vient à l'esprit quand vous voyez Caribaï, c'est qu'elle est très,mais alors vraiment très mignonne. Toutefois, ceci ne sera pas l'histoire des jeunes gens qui sont tombés sous son charme et ont désespéré en découvrant leur heureux rival.
Intéressons-nous pour le moment à la voisine de Caribaï ; Diane est une femme d'âge mûr que la vie n'a pas épargnée, mais qui a su garder intact, sinon son âme d'enfant,du moins son amour pour le jazz, et certains conviendront que cela revient plus ou moins au même.
Ses nouveaux voisins lui plaisent déjà: les yeux brillants, un sourire aux lèvres, ils gravissent les étages en échangeant des baisers -jamais assez- avec une énergie qui lui rappelle, sa fille d'abord, sa fille quand elle avait leur âge, ce qui remonte à environ quinze ans ; et puis, plus lointains,mais plus doux encore, ses propres souvenirs de jeunesse.
Cette certitude, par exemple,qu'au-delà d'un demi-palier il n'est pas indécent de reprendre la tendre bataille de chatouilles interrompue par son gentil bonjour,fait surgir en elle un prénom, une adresse. Luc et elle, rue du Grand Charmont, c'était tout à fait ça. Elle ne cherche pas à retrouver l'année, peu importe.
Ignorant les craquements des cartilages de ses genoux, Diane entreprend de sautiller de marche en marche jusqu'au rez-de-chaussée, et dans un soupir, pense qu'il ne lui restait plus beaucoup à descendre, heureusement pour ses genoux,et que tout de même pour son âge elle ne s'en sort pas si mal. Elle décide de continuer à égayer l'univers de sa propre bonne humeur en sifflant le long du chemin. Le morceau qu'elle travaille ce matin s'y prête avec entrain, et l'agitation de la rue semble même,trouve-t-elle, en suivre le rythme.
Ici, l'auteur cesse la filature,regardant Diane s'éloigner puis tourner au coin de la rue. Si vous croyez qu'on fait ce qu'on veut... tant mieux pour vous.Grommelle-t-il, contrarié et extrêmement troublé. Ainsi,songe-t-il, je ne parviens pas à m'éloigner de cet immeuble ;peut-être que Caribaï joue dans cette histoire un rôle plus important que je ne me l'étais imaginé. Eh bien, je suppose qu'il ne me reste plus qu'à y aller voir. Il tourne les talons et repasse la porte marron dans une telle hâte qu'il manque s'étaler en ratant la dernière marche du perron. Jurant, il commence l'ascension des degrés de mosaïque qui tournicotent autour de la cage en fer forgé d'un vieil ascenseur.
Au palier du premier, un coup de feu l'arrête, venant de l'appartement du docteur et suivi presqu'aussitôt d'un cri et de deux autres coups de feu. Il s'exclame alors tout haut : Oh ! Mais oui, c'est évident ; nous sommes dans un polar. Où avais-je la tête ?
Conscient de son statut d'observateur invisible, l'auteur recule jusqu'au mur, attendant que la lourde porte à poignée de cuivre soit ouverte par un protagoniste ; il n'a jamais fait usage de son immatérialité pour s'introduire quelque part. Qui sait ce qu'on ressent à traverser ainsi les portes ou même les murs ? Il ne tient pas à l'apprendre, et puis ce serait tellement indiscret. Certes, se glisser dans une pièce à la suite des gens et assister à toutes sortes d'événements privés, ça n'est pas joli-joli ; mais ce sont les limites qu'il s'est fixé dans son butinage.
Des pas précipités descendent l'escalier, ralentissent pour lancer un « Ohé ! Tout va bien? » qui chevrote malgré lui, et achèvent de gagner le palier sans attendre de réponse. Amandine Souchet a la trentaine sportive.Surprise par les coups de feu au milieu d'une consultation pédiatrique, elle a attendu que le papa du petit Alfred (non mais je vous jure : Alfred !) sorte des toilettes, lui a collé le marmot étonné dans les bras et a balbutié en s'élançant dans l'escalier qu'elle revenait tout de suite, et qu'il appelle la police depuis le téléphone qui est dans son bureau.
Arrivée en bondissant devant la porte, elle y cogne trois coups énergiques et entre, appelant : Yves! Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Tout va bien ? Elle traverse le corridor à grandes enjambées, laissant la voie libre à l'auteur qui lui emboîte le pas, l'air plus curieux qu'affolé. Ce n'est qu'une histoire, vous comprenez ? Il a l'habitude.
À ses côtés, nous suivons Amandine jusqu'à la cuisine, où elle découvre le docteur debout, bien vivant et entièrement moucheté de jaune d'œuf. L'épicentre des éclaboussures qui tapissent la pièce est une casserole encore fumante sur la gazinière, témoignant que la légendaire distraction du docteur Fourchu a encore frappé. Ce dernier se tourne vers sa consœur abasourdie et lâche piteusement : J'ai oublié les œufs sur le feu!
Le soulagement d'Amandine laisse place à l'indignation. Cette fois ça dépasse les bornes ! Un accident culinaire par mois, ça commence à bien faire. Le jour où il y aura le feu dans l'immeuble pour de bon, elle descendra voir ce qui brûle dans son four au lieu d'appeler les pompiers ! Se rappelant d'Alfred,elle repart presque aussi vite qu'elle était venue, vociférant qu'elle trouvera bien le moyen de mettre un terme à toutes ces bêtises.
Yves Fourchu reste planté au milieu de sa cuisine dévastée, cligne deux ou trois fois des yeux en direction du corridor comme pour chasser de son regard une image rémanente, puis s'empare d'un rouleau d'essuie-tout et s'attelle au nettoyage des dégâts.
Spangle- Nombre de messages : 181
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Re: A propos de Sliders
Est-ce que tu as écris s’en va dans le fugueux.
martin- Nombre de messages : 244
Re: A propos de Sliders
Si tu me demandes si ce texte peut aller à la suite de ton texte "Le fugueux", c'est non, et ta question montre que nous n'avons pas du tout réussi à nous comprendre. Considère simplement que je ne vais pas écrire cette suite, et qu'à mon avis, il est peu probable que quelqu'un le fasse.
Spangle- Nombre de messages : 181
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Re: A propos de Sliders
Verrouille-le si personne ne veux écrire un bout de texte.
martin- Nombre de messages : 244
Re: A propos de Sliders
Ne te fâche pas, Martin. Ce n'est que mon avis, peut-être que quelqu'un d'autre trouvera tout simple de continuer ce texte avec toi, et même si tu l'écris tout seul, ce n'est pas une raison pour le jeter.
Spangle- Nombre de messages : 181
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Re: A propos de Sliders
Je ne veux pas le jeter,
ni le verrouiller.
Je veux que les autres m’aide à l’écrire cette histoire pour peut-être la faire dessiner si je trouve tous les logiciels pour tenter de le faire moi-même..
ni le verrouiller.
Je veux que les autres m’aide à l’écrire cette histoire pour peut-être la faire dessiner si je trouve tous les logiciels pour tenter de le faire moi-même..
martin- Nombre de messages : 244
Re: A propos de Sliders
Je pensais que tu voulais promener Milou Adrien.
martin- Nombre de messages : 244
Re: A propos de Sliders
Je t'ai dit que je ne le ferais pas. Je t'ai aussi dit que je ne voulais pas être un personnage dans cette histoire et demandé de retirer mon ancien prénom de ton texte. Tu ne l'as pas fait et ne m'as même pas répondu à ce sujet, ce que je prends assez mal. Encore une fois, Martin, veuilles s'il te plaît changer le prénom "Adrienne" pour un autre, il y a suffisamment de choix.
Spangle- Nombre de messages : 181
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Re: A propos de Sliders
Comme ça tu veux que je retire ton nom dans l’histoire.
Très bien je vais le faire.
Très bien je vais le faire.
martin- Nombre de messages : 244
Re: A propos de Sliders
Dis-moi quand est-ce que les autres auteurs vont m'aider à balader Milou,
Martin le détective.
Karine la blonde qui soigne les animaux.
Maggie la propriétaire du château, Adrien.
Martin le détective.
Karine la blonde qui soigne les animaux.
Maggie la propriétaire du château, Adrien.
martin- Nombre de messages : 244
Re: A propos de Sliders
Encore une chose : peux-tu écrire mon nom correctement : Adrien' et non Adrien ? Les autres font ce qu'illes veulent.
Spangle- Nombre de messages : 181
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